Depuis l’épisode malheureux de Khalifa Bank qui a défrayé la chronique, la Banque d’Algérie a visiblement décidé de prendre les choses en main en donnant un sacré coup de pied dans la fourmilière du système bancaire algérien.
Ainsi, après le retrait d’agrément aux banques privées BCIA et Union Bank, s’est autour de CABank, la Mouna Bank et Arco Bank de se voir retiré leurs agréments par le Conseil de la monnaie et du crédit en tant qu’établissements de crédit.
La banque d’Algérie a motivé ses décisions par la situation d’illiquidité et d’insolvabilité financières desdites banques les empêchant de remplir leurs obligations vis-à-vis des tiers.
Ces décisions même si elles sont de nature à protéger les clients et leur épargne, démontrent surtout l’échec patent de la Banque d’Algérie à assumer son rôle de surveillance sur le système bancaire. Il ne faut pas perdre de vue que tous ces établissements financiers ont été accrédités par cette même banque centrale laquelle vient leur retirer l’agrément.
Alors une question se pose : Ces banques remplissaient elles vraiment toutes les conditions requises au moment de leur agrément ?
Une chose est sûr, ces retraits d’agrément signent la fin des banques privées algériennes laissant derrière elles des séquelles et une ardoise lourde !
Ainsi, après le retrait d’agrément aux banques privées BCIA et Union Bank, s’est autour de CABank, la Mouna Bank et Arco Bank de se voir retiré leurs agréments par le Conseil de la monnaie et du crédit en tant qu’établissements de crédit.
La banque d’Algérie a motivé ses décisions par la situation d’illiquidité et d’insolvabilité financières desdites banques les empêchant de remplir leurs obligations vis-à-vis des tiers.
Ces décisions même si elles sont de nature à protéger les clients et leur épargne, démontrent surtout l’échec patent de la Banque d’Algérie à assumer son rôle de surveillance sur le système bancaire. Il ne faut pas perdre de vue que tous ces établissements financiers ont été accrédités par cette même banque centrale laquelle vient leur retirer l’agrément.
Alors une question se pose : Ces banques remplissaient elles vraiment toutes les conditions requises au moment de leur agrément ?
Une chose est sûr, ces retraits d’agrément signent la fin des banques privées algériennes laissant derrière elles des séquelles et une ardoise lourde !